Les rectifications d’après-guerre

En ce qui concerne ces rectifications essentielles du tort et les affirmations du droit, nous nous sentons comme des partenaires intimes de tous les gouvernements et de tous les peuples. liés ensemble contre les impérialistes. Nous ne pouvons pas être séparés en intérêt ou en di- prévu dans le but. Nous sommes ensemble jusqu’à la fin. Pour de tels accords et conventions, nous sommes prêts à nous battre et à continuer à se battre jusqu’à ce qu’ils soient atteints; mais seulement parce que nous souhaitons le droit de l’emporter sire une paix juste et stable telle que peut être obtenue que par la suppression du chef provocations à la guerre, que ce programme supprime. Nous n’avons aucune jalousie de la grandeur allemande et il n’y a rien dans ce programme cela le gêne. Nous ne lui reprochons aucune réalisation ni distinction d’apprentissage ou de entreprise scientifique comme celle qui a rendu son disque très brillant et très enviable. Nous faisons ne souhaite pas la blesser ni bloquer de quelque manière que ce soit son influence ou son pouvoir légitime. nous ne souhaite pas la combattre avec des armes ou avec des arrangements commerciaux hostiles, si elle est prête à s’associer à nous et aux autres nations éprises de paix du monde dans les alliances de la justice et du droit et des pratiques équitables. Nous lui souhaitons seulement d’accepter une place d’égalité entre les peuples du monde – le nouveau monde dans lequel nous vivons maintenant – au lieu d’un lieu de maîtrise. Nous ne prétendons pas non plus lui suggérer d’altérer ou de modifier sa institutions. Mais c’est nécessaire, disons-le franchement, et nécessaire au préalable. à toute transaction intelligente avec elle de notre part, que nous sachions qui elle Les porte-parole parlent de quand ils nous parlent, que ce soit pour la majorité du Reichstag ou pour le parti militaire et les hommes dont le credo est la domination impériale. Nous avons parlé maintenant, sûrement, en termes trop concrets pour admettre de nouveaux doutes ou question. Un principe évident se retrouve dans tout le programme que j’ai décrit. C’est le principe de justice pour tous les peuples et toutes les nationalités, et leur droit de vivre conditions égales de liberté et de sécurité les unes avec les autres, qu’elles soient fortes ou faibles. À moins que ce principe ne soit fondé, aucune partie de la structure de la justice internationale peut subsister. Le peuple des États-Unis ne peut agir sur aucune autre principe, et à la justification de ce principe, ils sont prêts à consacrer leur vie, leur honneur et tout ce qu’ils possèdent. Le point culminant moral de cela, la culmi- guerre finale et finale pour la liberté humaine est venue, et ils sont prêts à mettre leur leur propre force, leur but ultime, leur intégrité et leur dévouement à la tester.