La pollution de l’air par les plastiques dans nos écosystèmes, en particulier les océans, ainsi que ses effets néfastes sur le biote ont soulevé des problèmes importants ces dernières années. Des études et enquêtes scientifiques nous ont fourni des estimations alarmantes (Vehicle Sebille et al., 2015) et des preuves vitales, comme (i) bien plus de 12.000 particules microplastiques présentes dans un seul litre de glace arctique (Peeken et al., 2018 ), (ii) un sac en matière plastique trouvé jusqu’à 11 km de profondeur dans l’océan (Chiba et al., 2018) et ainsi de suite, indiquant le degré de pollution de l’air par les matières plastiques océaniques. En conséquence, il offre plus de 600 variétés de vie marine impactées (en raison d’enchevêtrements et d’ingestion) et beaucoup sont au bord de l’extinction (Gall et Thompson, 2015). Ce statu quo est une répercussion de la croissance exponentielle de la production de plastique au cours des deux dernières décennies et de la surconsommation de plastique sans avoir à se soucier de ce qui se passe avec la matière plastique jetée. Selon un rapport rédigé par McKinsey & Business, plus de la moitié (~ 60 %) des matières plastiques qui s’infiltrent dans les eaux mondiales proviennent d’Extrême-Orient, des Philippines, de Thaïlande, du Vietnam et d’Indonésie (McKinsey, 2015). Même si des déchets plastiques qui polluent les océans sont générés dans le monde entier, les pays asiatiques sont enregistrés comme un important « contributeur final » à la pollution de l’air par les matières plastiques marines. C’est principalement parce que tous les déchets plastiques rassemblés dans le monde se retrouvent dans les pays de construction en Asie. Seules les matières recyclables sont raffinées et la masse de plastique restante est déversée dans les décharges ou jetée dans le plan d’eau potable, qui finit par atteindre la mer. Mais, l’engouement en Asie lié à l’importation de déchets de matières plastiques évolue progressivement. Les pays asiatiques ont pris conscience des effets de la matière plastique essayant de recycler les routines sur l’environnement local et la population. Il y a eu quelques développements importants de changement de programme dans un passé récent, nous les avons donc mis les uns avec les autres sous la forme d’une discussion fascinante pour plus de clarté, centrée sur des récits sur les tendances et les défis de la durabilité dans l’administration des déchets plastiques en Asie. Traditionnellement, les nations asiatiques ont déjà été un remède incontournable pour les Occidentaux pour éliminer le gaspillage de matière plastique qu’elles génèrent. Les pays asiatiques ont accueilli cette opportunité commerciale et, au fil des ans, ont stocké le plus grand marché de recyclage du plastique. En 2016, l’Extrême-Orient a apporté à lui seul les deux tiers des déchets plastiques du monde (The NGC Document on Plastic Recycling 2018). Juste après plus de deux décennies d’importation de milliards de déchets de matières plastiques (The NGC Report on Plastic Recycling 2018), le gouvernement chinois a reconnu les effets négatifs de la tentative de recyclage de l’industrie sur leur environnement et a imposé une interdiction complète des importations de la gaspillage de plastique depuis le début de l’année 2018 (Eco-Company Document on China’s Plastic Ban 2020). Cela consiste à interdire la production de sacs en plastique extrêmement minces, de jeter de la vaisselle en mousse plastique et des cotons-tiges naturels en plastique dans certaines provinces. Cela a changé la donne pour le commerce des déchets plastiques et les tentatives de recyclage des entreprises, ce qui a eu un impact sur l’idée d’importer des déchets de matières plastiques, poubelles Mions en particulier dans les pays à faibles revenus. Tous les pays exportateurs de déchets plastiques (comme les États-Unis, Melbourne, la Chine et de nombreux pays européens) vers l’Extrême-Orient (Brooks et al., 2018) sont désormais confrontés à un grave problème pour se débarrasser de leurs déchets plastiques et ont commencé à rechercher pour les destinations optionnelles. Pendant ce temps, les recycleurs chinois ont trouvé une opportunité d’étendre leur entreprise et de mettre en place leurs unités d’essai de recyclage dans d’autres pays d’Asie du Sud-Est comme la Malaisie, où le transfert de déchets de matières plastiques recyclables continue d’être légal (The Company Times Report). En outre, les exportations de déchets de matières plastiques de votre Occident vers d’autres pays orientaux comme l’Inde, l’Indonésie, le Vietnam et les Philippines ont considérablement augmenté, directement touchées par l’interdiction de l’Extrême-Orient. Finalement, ces pays ont été submergés par la quantité de matières plastiques entrantes gaspillées, que lorsque la Chine consommait. Le monde a maintenant atteint une étape dans laquelle la production et l’utilisation du plastique ont considérablement augmenté et la gestion des déchets plastiques sans impact sur nos écosystèmes est devenue presque impossible. Ces développements au cours des dernières années ont conduit à une série de changements gouvernementaux, sociaux et financiers à l’échelle mondiale. Quelques-uns des pays d’Asie du Sud-Est tels que le Vietnam et la Malaisie suivent les traces de l’Extrême-Orient en interdisant les importations de déchets plastiques. Les déchets de matières plastiques s’accumulent dans les dépotoirs du monde occidental qui exportaient auparavant vers la Chine. D’après une étude récente (Brooks et al., 2018), au cours des dix prochaines années, plus de 100 000 déchets de matières plastiques devront trouver un nouvel endroit pour être raffinés ou jetés en raison de l’interdiction de la Chine ! Pour résoudre ce problème, de nombreux pays en Europe, en Asie et dans certains États des États-Unis tentent de réduire la consommation de plastique en appliquant des réglementations et des applications de sensibilisation des clients (Lam et al., 2018). Un autre exemple qui peut être fourni est celui de Melbourne qui crée des techniques de recyclage à domicile pour lutter contre les dépenses croissantes de recyclage et la mise en décharge des plastiques. Néanmoins, docteur. Roland Geyer (à l’Université de Californie, auteur de « Production, utilisation et destin de tous les plastiques jamais fabriqués ») affirme que Plastics n’a jamais connu de modèle commercial pratique. Sa valeur trop réduite, trop polluée, avec trop de polymères divers combinés. Et cela ne peut fonctionner qu’avec un coût de main-d’œuvre extrêmement bas (The NGC Document on China’s Ban of Garbage Import 2018). Il est donc suggéré que le recyclage des déchets plastiques ne pourrait être une entreprise pratique que dans les pays à faible revenu. Des experts et de nombreuses start-ups du monde entier tentent de fournir une variété de solutions telles que des alternatives dépendantes de la biographie pour les matériaux plastiques à usage solitaire, la refonte des produits en matière plastique en tenant compte de ce qui arrive au plastique en fin de vie et respectueux de l’environnement. technologies de recyclage des matières plastiques. Le groupe d’étude du Dr Marc Hillmyer au College of Minnesota a noté des alternatives plastiques bio-dépendantes (Martello et al., 2014 ; Dirlam et al., 2018 ; Fortman et al., 2018), mais sont assez coûteuses à lancer dans le marché existant.