La direction de mon entreprise fait tout pour soigner la motivation de ses employés, et dans ce but, elle nous propose de ce fait fréquemment de faire des incentives pour le moins variés. Ces événements font qu’avec le temps, je suis en quelque sorte devenu un habitué en ce domaine. Jeudi dernier, la direction a proposé de participer à un incentive culinaire en ville . Ce n’est pas la première fois que je suis un atelier popote, et j’en suis arrivé à la conclusion que a des résultats tangibles. Lorsque c’est mon tour de cuisiner à la maison, ça finit par une soirée pizza. Mais curieusement, dans le cadre de ce type d’animation, je me prends au jeu. D’une part, j’ai noté que le fait de cuisiner est parfait pour mieux se connaître. Quand on se retrouve tous ensemble autour d’une table et qu’il faut éplucher une quantité astronomique de légumes, la conversation s’engage instinctivement, et dans un cadre décomplexée. D’autant que souvent, il y a aussi un stand pas loin pour apprendre à concocter des Bloody Mary et à les goûter. Et évidemment, après un cocktails, la conversation devient plus facile. Ces atelierss culinaire est aussi pour moi un moment où les hiérarchies peuvent être remplacées par l’esprit d’équipe. Sur le plan de travail, les compétences individuelles n’entretiennent évidemment aucun rapport avec la place au sein de la boîte : des salariés peuvent délivrer leurs qualités à des responsables grâce à leurs compétences. Cette situation alimente l’esprit d’équipe, parce que chaque participant peut ressentir le pouvoir de l’entraide. Puis vers la fin, l’atelier se change en grand banquet où on peut déguster le boulot fourni. La dégustation devient un grand moment de convivialité, favorable à la découverte. Bref, je trouve que l’incentives culinaire est l’un des trucs qui marche le mieux lors d’un incentive. Si vous voulez savoir quels plats peuvent être réalisés dans ce cadre, je vous mets en lien l’agence qui a organisé cet incentive .